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Covid-19

COVID–19 - Mesures concernant les personnes en situation de handicap et leurs aidants

publié le31.03.21

La dégradation du contexte sanitaire a conduit le Président de la République à mettre en place un dispositif renforcé de freinage de l’épidémie, sur tout le territoire. La mobilisation de chacun durant ce mois d’avril devra nous permettre de reprendre progressivement une vie normale à partir de mi-mai.

 « Plus que jamais, mon secrétariat d’Etat et l’ensemble du Gouvernement sont pleinement mobilisés pour soutenir toutes les personnes en situation de handicap. L’Etat, ses administrations et ses collectivités seront aux côtés des personnes, de leurs proches aidants, mais aussi de tous les soignants et accompagnants, des personnels hospitaliers, des professionnels du médico-social, de l’aide à domicile et des associations, afin d’accompagner la formidable mobilisation, érigée dès le début de la pandémie. Cette crise sanitaire est longue, nous touche dans notre quotidien, mais l’accélération de la campagne de vaccination ainsi que le respect des mesures annoncées et des gestes barrières nous permettra de surmonter cette pandémie. Il nous faut tenir ensemble, unis et solidaires », précise Sophie Cluzel, secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre chargée des personnes handicapées.

I. Le Gouvernement se mobilise pour apporter une réponse spécifique aux enfants en situation de handicap

  • En raison de la situation sanitaire, les établissements scolaires n’accueilleront plus d’élèves à partir du 5 avril. La continuité pédagogique sera assurée en distanciel.
  • L’ensemble des établissements et services médico-sociaux (ESMS), externats et internats pour enfants restent ouverts avec les mêmes règles sanitaires qu’actuellement.
  • Les enfants scolarisés en Unités d’Enseignement externalisées pourront être accueillis dans les établissements médico sociaux dont ils dépendent.
  • Les enfants scolarisés en maternelle et primaire, dont ceux scolarisés en ULIS, suivront un enseignement à distance la semaine du 5 au 9 avril. Après deux semaines de congés, du 10 au 25 avril, ils seront de nouveau accueillis dans leurs classes.
  • Les collégiens, dont ceux scolarisés en ULIS, suivront des enseignements à distance la semaine du 5 au 9 avril, puis du 26 au 30 avril, après deux semaines de congés scolaires.
  • En maternelle, en primaire, au collège ou au lycée, la continuité pédagogique des enfants en situation de handicap pourra notamment être assurée grâce aux ressources et supports pédagogiques adaptés à disposition sur CapEcole Inclusive https://www.reseau-canope.fr/cap-ecole-inclusive). (nouvelle fenêtre)" data-saferedirecturl="https://www.google.com/url?q=https://www.reseau-canope.fr/cap-ecole-inclusive&source=gmail&ust=1617367357431000&usg=AFQjCNGGSfJP9X6rG6_N1gCQgQsbVkHASQ">(https://www.reseau-canope.fr/cap-ecole-inclusive).
  • Au regard de l’importance de leur mission et de leur total engagement, les professionnels médico-sociaux sont soutenus. Ils comptent parmi les personnels prioritaires pour la mobilisation de systèmes de gardes d’enfants organisés par l’Education nationale et ses partenaires.

II. Les mesures de freinage renforcées sont étendues à l’ensemble du territoire métropolitain

  • Les déplacements sont autorisés dans un rayon de 10 km autour du domicile, sans limite de durée et sans attestation, avec simplement un justificatif de domicile.
  • Au-delà de ce rayon de 10 km, les déplacements des personnes en situation de handicap et de leurs accompagnants sont autorisés sous réserve de la production d’une attestation de déplacement et de la capacité à justifier, lors d’un contrôle, la qualité de personne en situation de handicap. Il s’agit d’un des motifs impérieux permettant les déplacements inter- régionaux.
  • Le télétravail est systématisé, lorsque c’est possible. Outre l’octroi de financement pour la fourniture de masques inclusifs pour les salariés handicapés et leurs collègues, des aides sont disponibles pour l’adaptation des équipements nécessaires au travail à domicile. Le détail de l’ensemble de ces aides est disponible sur https://www.agefiph.fr/espace-presse/tous-les-documents-presse/emploi-et-handicap-lagefiph-et-le-fiphfp-renforcent-leur (nouvelle fenêtre)" data-saferedirecturl="https://www.google.com/url?q=https://www.agefiph.fr/espace-presse/tous-les-documents-presse/emploi-et-handicap-lagefiph-et-le-fiphfp-renforcent-leur&source=gmail&ust=1617367357431000&usg=AFQjCNFBssOD_kQNpN1sJo5XVji8wxcr_g">https://www.agefiph.fr/espace-presse/tous-les-documents-presse/emploi-et-handicap-lagefiph-et-le-fiphfp-renforcent-leur

III. La continuité des droits des personnes est assurée

  • Pour éviter toute situation de rupture de droits, les Maisons départementales des personnes handicapées (MDPH) restent ouvertes avec un accueil physique qui sera adapté à la situation sanitaire de chaque territoire.
  • Les droits échus sont prorogés automatiquement, même en l’absence de renouvellement, et ce jusqu’à la fin de l’état d’urgence sanitaire actuel, le 1er juin 2021.
  • Pour répondre à toutes les questions, une mise à jour régulière de la foire aux questions (FAQ) est assurée sur le site Handicap.gouv https://www.google.com/url?q=https://handicap.gouv.fr/&source=gmail&ust=1617367357431000&usg=AFQjCNHm_Y5gL3HR9DP3ahKjAHLaQvlxTg">(https://handicap.gouv.fr/). Pour les interrogations spécifiques des personnes et de leurs aidants qui font face à des situations compliquées, telles que des difficultés d’accès aux soins ou à des solutions de répit, ou pour toute personne isolée, un numéro unique d’appel est disponible au 0 800 360 360.
  • Il est important de rappeler de façon constante les mesures de protection, les gestes barrière à adopter systématiquement et la distanciation physique de façon à contenir la propagation du virus de la Covid-19.
 
https://www.google.com/url?q=https://handicap.gouv.fr/presse/communiques-de-presse/article/covid-19-mesures-concernant-les-personnes-en-situation-de-handicap-et-leurs-1194&source=gmail&ust=1617367357431000&usg=AFQjCNESILIvJvFvrAcYORQ9ZFe-AujuoA">https://handicap.gouv.fr/presse/communiques-de-presse/article/covid-19-mesures-concernant-les-personnes-en-situation-de-handicap-et-leurs-1194

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Attestations de déplacement

22 mars 2021

Un couvre-feu s'applique de 19h à 6h sur l’ensemble du territoire métropolitain et des mesures renforcées sont en vigueur tous les jours de la semaine de 6h à 19h dans 16 départements.


L’ensemble du territoire est concerné par le couvre-feu entre 19h et 6h, il est donc obligatoire pour se déplacer durant ces horaires d’être muni de l’ « attestation de déplacement dérogatoire couvre-feu ».

Par ailleurs, 16 départements sont concernés par les mesures renforcées entre 6h et 19h : Aisne, Alpes-Maritimes, Essonne, Eure, Hauts-de-Seine, Nord, Oise, Paris, Pas-de-Calais, Seine-et-Marne, Seine-Saint-Denis, Seine-Maritime, Somme, Val-de-Marne, Val-d’Oise et Yvelines.

Dans ces 16 départements, il est obligatoire pour se déplacer entre 6h et 19h d’être muni de l’ « attestation de déplacement dérogatoire dans les départements soumis à des "mesures renforcées" entre 6h et 19h ». Dans un rayon de 10 km autour du lieu de résidence, les déplacements peuvent se faire sans attestation, sous réserve de pouvoir présenter un justificatif de domicile.

Le non-respect de l'ensemble de ces mesures entrainera :

  • Première sanction : une amende de 135 euros, majorée à 375 euros (en cas de non-paiement ou de non-contestation dans le délai indiqué sur l'avis de contravention)
  • En cas de récidive dans les 15 jours : une amende de 200 euros, majorée à 450 euros (en cas de non-paiement ou de non-contestation dans le délai indiqué sur l'avis de contravention)
  • Après 3 infractions en 30 jours : une amende de 3750 euros passible de 6 mois d'emprisonnement.

La situation sanitaire continue de se dégrader en France et le virus est toujours dangereux pour nous et nos proches. Il est impératif de rester vigilant face à l’épidémie de la Covid-19.

Toutes les informations sur la page du gouvernement external link

Téléchargement des attestations (disponibles aux formats .pdf, .docx, .txt, numérique, FALC et en langue anglaise)

https://www.interieur.gouv.fr/Actualites/L-actu-du-Ministere/Attestations-de-deplacement

 

 

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Covid-19 : une ordonnance rouvre les maintiens de droits et prorogations de délais dans le secteur sanitaire et social

Publié le 10 décembre 2020 par Jean-Noël Escudié

 

Véritable inventaire à la Prévert, une ordonnance portant "diverses dispositions sociales pour faire face à l’épidémie de Covid-19" a été publiée au Journal officiel ce 10 décembre . Elle prolonge les dérogations et maintient les droits dans toute une série de domaines : assistantes maternelles, PMI, MDPH, com

Une ordonnance du 9 décembre prolonge, rétablit ou adapte diverses dispositions sociales pour faire face à l'épidémie de Covid-19. Cette ordonnance s'inscrit dans le prolongement de la loi du 14 novembre 2020 autorisant la prorogation de l'état d'urgence sanitaire et portant diverses mesures de gestion de la crise sanitaire. Celle-ci habilite en effet le gouvernement à prendre, jusqu'au 16 février 2021 (date prévue à ce jour pour la fin de l'état d'urgence sanitaire), toute mesure en vue de prolonger ou de rétablir l'application des dispositions prises par voie d'ordonnance lors du premier confinement. Plusieurs dispositifs alors mis en œuvre dans le domaine sanitaire ou social, principalement par la série d'ordonnances du 25 mars 2020, se trouvent ainsi réactivés et/ou adaptés (voir nos trois articles ci-dessous du 26 mars 2020).

Garantie de financement des établissements de santé et assistantes maternelles

L'ordonnance du 9 décembre prend donc nécessairement l'allure d'un inventaire à la Prévert. Son article Ier supprime ainsi la limite d'un an pour la garantie de financement des établissements de santé, qui se trouve donc prolongée jusqu'à la fin de l'état d'urgence sanitaire. 
L'article 2 rétablit la possibilité, pour les assistantes maternelles, d'accueillir simultanément jusqu'à six enfants (sous réserve du respect des conditions de sécurité), ce qui n'est normalement possible que pour celles ayant déjà un agrément pour la garde de quatre enfants. En outre, cette possibilité est ouverte aux assistantes maternelles quel que soit leur lieu d'exercice, y compris celles exerçant au sein des maisons d'assistantes maternelles (MAM) dans la limite de vingt enfants accueillis simultanément. Enfin, l'article rétablit aussi l'obligation de déclaration au président du conseil départemental, afin de permettre aux professionnels de la PMI d'avoir connaissance de ces situations et de proposer un accompagnement renforcé.
Plus limité dans son champ, l'article 3 rétablit et modifie certaines dispositions relatives à l'adaptation temporaire des règles d'instruction des demandes et d'indemnisation des victimes par l'Office national d'indemnisation des victimes d'accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales (Oniam) et par le fonds d'indemnisation des victimes de l'amiante (Fiva). Cette prorogation des délais d'instruction court du 30 octobre jusqu'au 16 février 2021 et la durée de la prorogation est fixée uniformément à trois mois. Il en est de même pour le délai de dépôt des demandes par les victimes.

CSS, AME, MDPH, CDAPH, RSA, AAH, AEEH...

L'article 4 dresse une longue liste de dispositions issues principalement des ordonnances du 25 mars et rétablies par celles du 9 décembre. On y trouve ainsi :
• la prolongation de trois mois des droits à la complémentaire santé solidaire (CSS) et à l'aide médicale de l'État (AME) arrivant à expiration entre le 30 octobre 2020 et le 16 février 2021 :
• la prolongation de l'accord sur les droits et prestations qui n'auraient pu être renouvelés à leur échéance par la MDPH (maison départementale des personnes handicapées), jusqu'à l'intervention de la décision de la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées (CDAPH) ou du président du conseil départemental, et au maximum pour une durée de six mois ;
• l'extension du bénéfice de l'allocation de remplacement aux personnes non salariées agricoles faisant l'objet, en raison de l'épidémie de Covid-19, d'une mesure d'isolement ou contraintes de garder leur enfant de moins de 16 ans ou leur enfant handicapé de moins de 18 ans ;
• des versements d'avances sur droits supposés aux bénéficiaires du RSA et de l'AAH par les organismes de sécurité sociale compétents, dès lors qu'ils sont dans l'incapacité de procéder au réexamen des droits à ces prestations du fait de la non transmission d'une pièce justificative ou de la DTR (déclaration trimestrielle de ressources). Cette possibilité est ouverte pendant six mois, sauf obtention plus précoce des informations nécessaires ;
• la prolongation de six mois de l'engagement des personnes entrées dans un parcours de sortie de la prostitution et d'insertion sociale et professionnelle (ce qui leur permettra de continuer à bénéficier de l'aide financière à l'insertion sociale et professionnelle) ;
• le maintien des droits à l'allocation d'éducation de l'enfant handicapé (AEEH) pendant trois mois au-delà de la limite d'âge, pour une personne qui a fait une demande d'AAH qui n'aurait pu être examinée avant cette échéance en raison de la crise sanitaire ;
• la prise en charge à 100% par l'assurance maladie des actes de télésoin jusqu'à la fin de l'état d'urgence sanitaire en cours ;
• la prolongation, jusqu'au 1er avril 2021, de l'exonération de participation au titre des affections de longue durée (ALD) qui arriverait à échéance entre le 30 octobre 2020 et cette date.

Assouplissements prolongés pour le fonctionnement des établissements et services

L'article 5 rétablit certaines modalités simplifiées d'organisation permettant aux CDAPH de rendre leurs avis ou décisions et allégeant les conditions de recevabilité des recours administratifs déposés auprès de la MDPH.
L'article 6 recentre sur les projets identifiés comme prioritaires les dispositions permettant de déroger à la règle de tirage au sort pour la désignation du comité de protection des personnes, en matière de recherches impliquant la personne humaine associées au Sars-CoV-2. Une disposition jugée nécessaire au vu de la forte augmentation du nombre de recherches dans ce domaine.
L'article 7 rétablit plusieurs dispositions adaptant les règles d'organisation et de fonctionnement des établissements sociaux et médicosociaux : assouplissement des conditions de fonctionnement et de financement des établissements et services, élargissement des publics pouvant être accompagnés en situation d'urgence et maintien des financements publics pour les établissements et services sociaux et médicosociaux qui seraient amenés à fermer ou qui seraient en sous-activité en raison de la crise sanitaire.
L'article 8 reprend certaines dispositions de l'ordonnance du 15 avril 2020, afin de permettre aux établissements de santé de procéder à toutes les dépenses nécessaires à leur fonctionnement pendant la période de crise sanitaire, en dérogeant au caractère limitatif de certaines catégories de crédits.  L'ordonnateur sera toutefois tenu, en cas de dépassement sur les comptes à crédits limitatifs, d'en informer le directeur général de l'ARS dans le délai maximal d'un mois. L'article permet aussi aux établissements de santé d'élaborer leur budget selon un calendrier adapté à la crise sanitaire. En outre, il déconnecte exceptionnellement l'exercice de prévision annuelle de l'exercice de projections pluriannuelles, "les informations et référentiels mobilisables pour une projection au-delà de l'exercice budgétaire 2021 nécessitant un délai plus important encore (réflexion liée aux retours d'expérience liée aux prises en charge Covid, mesures issues du Ségur de la santé notamment sur les investissements, etc.)".
Enfin, l'article 9 permet d'indemniser les médecins libéraux concernés par les déprogrammations d'opérations dites "non urgentes", et subissant ainsi une baisse de leur activité. Cette extension couvre dans un premier temps la période du 15 octobre au 30 novembre, avec possibilité d'extension en fonction de l'évolution de la situation sanitaire.

 
Référence :  https://www.google.com/url?q=https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000042636870&source=gmail&ust=1608370627374000&usg=AFQjCNHYsnLU-4UErT2WhdytNrGY7R6xCQ">ordonnance n°2020-1553 du 9 décembre 2020 prolongeant, rétablissant ou adaptant diverses dispositions sociales pour faire face à l'épidémie de Covid-19 (Journal officiel du 10 décembre 2020).
Source : https://www.google.com/url?q=https://www.banquedesterritoires.fr/covid-19-une-ordonnance-rouvre-les-maintiens-de-droits-et-prorogations-de-delais-dans-le-secteur&source=gmail&ust=1608370627374000&usg=AFQjCNEl8KTWqo_j6wTTGVEuNsBNd45DBw">https://www.banquedesterritoires.fr/covid-19-une-ordonnance-rouvre-les-maintiens-de-droits-et-prorogations-de-delais-dans-le-secteur
 

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10 masques gratuits par semaine pour les auxiliaires de vie

Arrêté du 26 octobre 2020 modifiant l'arrêté du 10 juillet 2020 prescrivant les mesures d'organisation et de fonctionnement du système de santé nécessaires pour faire face à l'épidémie de covid-19 dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire

 
 

Bénéficiaires des masques
de protection

Justificatif à présenter
pour la délivrance

Indemnité délivrance

Tarif unitaire du masque

Accueillants familiaux et salariés de l'aide à domicile employés directement par des particuliers pour des actes essentiels de la vie

Attestation transmise par l'URSSAF

2 € HT pour une délivrance de 50 masques pour cinq semaines

Du 27 octobre au 30 novembre 2020
0,30 € HT le masque
Du 1er décembre au 31 décembre 2020
0,15 € HT le masque
A partir du 1er janvier 2021
0,10 € HT le masque
 
 
 
 

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Application du protocole sanitaire dans les lycées et adaptations du bac pour l'année 2020-2021

En raison du contexte sanitaire Covid19, un plan de continuité pédagogique est mis en œuvre dans les lycées et il a été décidé d'adapter les modalités du bac pour l'année scolaire 2020-2021 pour les élèves de 1ère et terminale.

 

Application du protocole sanitaire dans les lycées et continuité pédagogique

Depuis le 2 novembre, un protocole sanitaire renforcé s'applique à toutes les écoles, tous les collèges et lycées. Il consiste en la limitation des règles de brassage des élèves, l'obligation du port du masque, l’aération et la désinfection plus fréquentes des locaux, notamment.

Ces mesures s’imposent à tous les niveaux mais sont plus difficiles à appliquer au lycée, où les déplacements des élèves sont plus nombreux et plus fréquents, et l’organisation de la restauration scolaire plus complexe. Du fait de l’âge des élèves, de la taille des établissements et de leur organisation, les risques sont potentiellement plus importants.

Ainsi, au regard de l’évolution du contexte épidémique, et après concertation avec les organisations syndicales, chaque lycée met en place un plan de continuité pédagogique qui garantisse au moins 50% d’enseignement en présentiel pour chaque élève.

Chaque élève sera présent en cours au moins la moitié du temps scolaire. Tous les élèves doivent travailler pendant la totalité du temps scolaire ordinaire, que ce soit en cours, en classes virtuelles ou en autonomie.

Les modalités d’organisation sont laissées à l'appréciation des chefs d'établissement : l’accueil en demi-groupes ; l’accueil par niveau ; le travail à distance un ou deux jours par semaine.

Adaptations des modalités du bac pour l'année 2020-2021 pour les élèves de 1ère et terminale

Pour tenir compte des conséquences de la crise sanitaire sur les conditions de préparation du baccalauréat général et technologique, et afin de privilégier le temps d’apprentissage des lycéens dans cette période, plusieurs mesures sont mises en place, à titre exceptionnel, pour l’année scolaire 2020-2021.

Ces mesures ont été prises après échange avec le comité de suivi de la réforme et à la suite d’une large concertation avec les organisations syndicales représentatives des personnels et les élus des conseils académiques de la vie lycéenne.

Les trois évaluations communes de première et de terminale de l'année 2020-2021 sont annulées et remplacées par les moyennes des bulletins scolaires

Les matières concernées par l'annulation des évaluation sont l’histoire-géographie, les langues vivantes, la spécialité qui n’est pas poursuivie en terminale, ainsi que les mathématiques pour la voie technologique et l’enseignement scientifique pour la voie générale.

Cette adaptation concerne les élèves de terminale, qui passeront leur bac en 2021, comme les élèves actuellement en première.

Deux sujets au choix pour les épreuves terminales des enseignements de spécialité

Les épreuves des enseignements de spécialité se tiendront aux dates prévues : du 15 au 17 mars 2021.

Pour garantir que les élèves seront interrogés sur des éléments effectivement étudiés dans le cadre des programmes, toutes les disciplines concernées proposeront deux sujets ou des exercices au choix afin de couvrir l’ensemble des thématiques étudiées.
Les attendus pédagogiques de chaque discipline seront communiqués aux élèves et les correcteurs suivront des grilles d’évaluations précises pour chaque sujet.

Les notes obtenues aux épreuves de spécialité seront prises en compte dans Parcoursup dont le calendrier reste inchangé.

Pour les candidats qui n’auront pas pu se rendre aux épreuves de spécialité du mois de mars pour cause de force majeure, les épreuves de remplacement auront lieu au mois de juin.

Ces adaptations permettront aux élèves de travailler en toute sérénité cette année, pour un baccalauréat réussi et une bonne entrée dans l'enseignement supérieur.

 

https://www.education.gouv.fr/application-du-protocole-sanitaire-dans-les-lycees-et-adaptations-du-bac-pour-l-annee-2020-2021-307102

 

 

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